Recette
30 septembre 2015
Recette : poulet rôti épicé
Recette:

Une recette sans produits laitiers et sans gluten
Ingrédients
4 à 6 portions
MARINADE SÈCHE
1 c. à soupe de sel de mer
1 c. à soupe de sucre de coco
1 c. à café de cumin moulu
1 c. à café de paprika doux
1 c. à café de piment de Cayenne
1 pincée de piment de la Jamaïque moulu
Poivre noir fraîchement moulu
POULET
1 oignon moyen, coupé en tranches de 5 mm (1/4 po)
1 poignée de branches de romarin, de sauge ou de thym frais
1 poulet (de 1,6 à 1,8 kg ou 3 1/2 à 4 lb), rincé et bien épongé
2 c. à soupe d’huile de noix de coco
250 ml (1 tasse) de vin blanc sec
Étapes
Portions:
Légèrement sucré et épicé, ce poulet rôti est meilleur que celui qu’on achète en rôtisserie, d’autant plus que l’huile de noix de coco rend sa peau plus croustillante. (Épongez-la bien avant de l’en enduire ; elle n’en sera que plus croustillante.) Il pourrait vous faire renoncer à votre poulet rôti habituel.
Étape 1 : Dans un petit bol, mélanger le sel, le sucre de coco, le cumin, le paprika, le piment de Cayenne, le piment de la Jamaïque et du poivre noir au goût.
Étape 2 : Parsemer le fond d’une lèchefrite de tranches d’oignon et de branches d’herbes. Y déposer le poulet et enduire celui-ci d’huile de noix de coco. Parsemer de marinade sèche et laisser reposer 30 minutes à température ambiante.
Étape 3 : Entre-temps, préchauffer le four à 230 °C (450 °F).
Étape 4 : Faire rôtir le poulet 40 minutes par kilo (18 minutes par livre) sans l’arroser. Quand il ne reste plus qu’environ 10 minutes de cuisson, verser le vin dans la lèchefrite. Poursuivre la cuisson jusqu’à ce qu’un thermomètre piqué dans la partie la plus épaisse d’une cuisse indique 75 °C (165 °F).
Étape 5 : Déposer le poulet sur une planche à découper et laisser reposer au moins 15 minutes avant de découper. À la cuillère, retirer l’excédent de gras dans la lèchefrite, puis servir le poulet avec l’oignon et le jus de cuisson.
Reproduction des recettes autorisée par Irrésistible noix de coco par Sasha Seymour (Les Éditions de l’Homme, 2015).
Kathleen Finlay